"Les pentes de ses hanches étaient comme celles de la dune la plus aimée du vent de sable qui a mis un siècle à la construire de sa caresse."
im-bored
I'll die happy tonight
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I'll die happy tonight
Dimanche 1er mai 2016 à 19:02
Mercredi 6 avril 2016 à 19:11
Il a été très énergique au début, mais pile comme il faut, juste pour que ça fasse assez de bien sans faire de mal. Et à un moment il s'est rapproché de moi et a commencé à accélérer. J'ai tout de suite su... Et en effet ça a été très facile. Ensuite, et c'est là que ça m'a le plus surprise, je crois que j'ai encore plus aimé. Je suis rentrée comme dans un état de transe. Je me sentais tellement bien. J'ai fermé les yeux et tout d'un coup mes autres sens étaient comme décuplés, surtout au niveau du touché. Rien que de tenir son visage entre mes mains me procurait une joie immense. J'étais comme dans un autre monde, pas ailleurs parce que je ressentais tout, mais dans un monde où je pouvais sentir différemment les choses. Je n'ai jamais vécu quelque chose de semblable. Je n'avais jamais ressenti ça auparavant. A la fin je n'ai pas pu m'empêcher de rire aux éclats. Je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer. Sans honte. J'étais comblée.
Mercredi 9 mars 2016 à 22:13
Chaque fois que je vois une nouvelle photo de toi, j'ai cette sensation de tristesse qui m'envahit. Tristesse de ne pas être sur la photo, avec toi. Tu me manques tellement. J'aimerais tant te revoir. Nous n'habitons peut être plus dans le même pays, et puis pour se voir c'est pas simple. Mais je crois que mon affection pour toi ne faiblira jamais. Je sais pas. Ce que j'ai connu avec toi, je le connaîtrai jamais avec quelqu'un d'autre je pense. Tu as été un des premiers visages que j'ai découvert à mon arrivée à Budapest. Dès le premier jour, dès le premier instant j'ai su que je ne me sentirai pas seule ici. Tu as été tellement importante pour moi. On a tout fait ensemble, j'ai tout découvert avec toi. Mon année, c'est avec toi. On se voyait tellement souvent, que ce soit pour sortir ou pour rester tranquille chez toi, j'ai vraiment du mal à ne plus te voir. J'aimerai que tu me racontes encore tes histoires, parce que même la plus ridicule paraissait si captivante venant de toi.
Tu m'as offert tellement, tu me manques tellement.
Mardi 26 janvier 2016 à 0:19
Faut-il concrétiser ses rêves ? Quand on voit le mal qu'on peut faire. Est-ce bien important, son bonheur, au détriment du bonheur des autres ? Après ce fameux film de Marcel Pagnol, je ne sais pas. Je me retrouve dans Marius. Il aime cette fille, il aime son père, et pourtant il choisit d'épouser la mer. En laissant ces deux-là souffrir, abandonnés. Alors quoi, Marius, serais-tu égoïste ? Est-ce vraiment si égoïste de répondre à l'appel du grand large ? J'aimerai dire que non. Alors pourquoi cette fin me laisse si désemparée ? On veut que tu reviennes Marius, que tu lui dises que tu as changé d'avis, que tu l'aimes, que tu resteras à ses côtés pour toujours... Mais tu ne reviens pas.
Regarde moi, je t'ai déjà fait souffrir pendant un an avec mes conneries. Et je rêve déjà de repartir.
Tu voudrais pas plutôt venir avec moi ? Ca arrangerait tout, pour le coup.
Vendredi 30 octobre 2015 à 19:06
Aujourd'hui je me suis réveillée avec un sentiment de mal-être. Au début je n'ai pas compris pourquoi j'étais si perdue, si triste, ça ne m'arrive jamais. Et puis je me suis souvenue par bribe de mon rêve. C'est bizarre parce que je ne me souviens quasiment jamais de mes rêves. Et en fait je crois que c'est tant mieux. Quand je m'en souviens c'est toujours étrange, triste, dérangeant. Bref je me suis souvenue, et tout d'un coup j'ai commencé à pleurer. Pleurer parce que je venais de faire un rêve avec des gens qui me manquent. Des gens de ma vie d'avant. Parce qu'il n'y a pas que ces gens qui me manquent, ma vie me manque. Ma ville. La personne que j'étais à cette période là me manque.
J'ai rêvé de mon ancien petit ami. Ca faisait pas mal de temps que je n'avais pas pensé à lui. Il avait fini par ne plus me manquer. Et puis j'ai repensé à lui, et j'ai voulu le recontacter. Savoir ce qu'il fait maintenant, s'il est heureux. Est-ce qu'il fait toujours chaud chez toi ? Et est-ce que tu vois toujours Eduardo ? Et Hugo ? Qu'est-ce que tu fais maintenant ? ... Pourtant je ne sais pas si j'ai le droit de lui envoyer un message. C'est moi qui ai décidé de ne plus lui parler, la dernière fois qu'il m'a demandé des nouvelles je n'ai pas répondu à sa question. Ca ne s'est peut être pas terminé comme je le voulais. Mais le temps qu'on a passé ensemble, c'était bien non ? Presque parfait même.
Finalement j'ai passé toute ma journée à ressasser des souvenirs. En marchant dans les rues j'étais comme perdue, je ne reconnaissais pas ma ville, les gens qui marchaient à côté de moi. Tout était bizarre.